Etienne Gros, fumées noires et corps de porcelaine
Étienne Gros peint avec la légèreté d’un souffle. Sur la feuille blanche, de moelleuses volutes d’ébène évoquent des corps nus, parfois enlacés. Aucun trait acéré, aucune mine ne sont venus marquer le papier, aucune gomme...